Une bière de clochers !
En vente au presbytère Saint-Nicolas et à la maison paroissiale de Bon-Port
Une bière par clocher
Une bière d’abbaye ? Non ! Trop facile. Une bière de paroisse ! Je dirais même plus… Une bière de clochers !
Une explication s’impose. Il y a quelques mois, après avoir lu un article sur Sainte-Cécile de Boulogne-Billancourt, une paroisse de banlieue parisienne ayant décidé de lancer sa propre bière, Guillaume Maillotte dont la famille est « en mission » à Notre-Dame-de Bon-Port parle de ce projet au P. Loïc.
L’idée ? « Trouver une nouvelle voie d’évangélisation, explique Guillaume. Une bière « de paroisse », ça a un côté novateur, dynamique. »
Après quelques échanges avec la paroisse de Boulogne pour prendre des conseils, l’accord du P. Loïc et la constitution d’une petite équipe pour piloter cette nouvelle aventure, il a fallu trouver qui produirait cette bière. C’est finalement une brasserie de Batz-sur-Mer qui a remporté les suffrages, et il a été décidé de proposer non pas une mais trois déclinaisons de bières, chacune rattachée à un clocher de notre paroisse :
-l’IPA (India Pale Ale) de Saint-Nicolas, plus ambrée, assez amère.
-la « Blanche de Bon-Port »
-la « Blonde de Sainte-Croix »
« L’évangélisation est sur l’étiquette, s’enthousiasme Guillaume. Nous avons voulu justement une étiquette attrayante, un visuel sympa. On y trouve à la fois une parole d’Évangile « Qu’ils viennent à moi et qu’ils boivent » ou encore « Mon âme a soif de Toi » et un QR code à flasher pour découvrir toutes les propositions paroissiales. Le but est vraiment d’essayer de toucher de nouvelles personnes et de faire connaître notre paroisse par un autre biais. »
Les petites bouteilles (33 cl) sont prêtes, le lancement s’est fait lors de la rentrée paroissiale, et on peut les acheter à la sortie de certaines messes, au presbytère Saint-Nicolas, à la Maison paroissiale de Bon-Port.
On peut aussi passer commande par mail : bieresndn@gmail.com
Les bénéfices (s’il y en a !) iront à 50% à des associations caritatives, locales ou non, et à 50 % à des œuvres paroissiales (type travaux de l’orgue, remplacement des chaises…)
Guillaume conclut : « l’an dernier, pour sa quatrième année de production, la paroisse de Boulogne a écoulé 22 000 bouteilles ! » Alors : à vos marques ! Prêts ? Brassez !
